Pour tous renseignements : 03 28 36 27 99

C'est une première et c'est exceptionnel : une galerie d'Art est mise à l'honneur par le plus prestigieux magasin de Lille qui lui ouvre ses vitrines pour présenter l'un de ses artistes, le photographe-reporter, Frédéric DEFOSSEZ ; ce dernier présentant des photos de NYC reproduites sur métal et en format 120 x 180 cm...

En effet, le printemps de Lille organise 6 semaines "A l'heure New-Yorkaise" dans son magasin de Lille .... Pour se faire et en partenariat avec des nombreuses marques, le Printemps de Lille propose des centaines d'articles sur le thème et organise, en parallèle de l'exposition et de ces animations, des ateliers animés par des intervenants venus exprès de New York (Un club de Pilates et un atelier cuisine notamment).

Mais ce qui est complètement inhabituel c'est le fait que l'ensemble des vitrines de la rue Nationale ne seront pas théâtralisées comme les autres magasins "le Printemps", c'est à dire avec les décorations prévues par la marque...

En partenariat avec la for Art (gallery), le Printemps de Lille met en scène 6 grands visuels de la ville de New York, reproduits pour la première fois en très grands formats et sur métal ; visuels de l'artiste photographe Frédéric Defossez (à gauche sur notre photo) que la for Art (gallery) avait présenté en avant première au salon Lille Art Fair. Ce jeune artiste, ancien élève du grand reporter Jean-Claude Francolon (à droite sur notre photo)

Frédéric Defossez travaille actuellement entre Paris et New York pour
le studio "brainmixer-lab" basé à Brooklyn.
 
Supports alternatifs, visuels déchirés, meulés, meurtris, Frédéric Defossez nous livre une apocalypse visuelle bien loin des vues habituelles -et tellement- consensuelles des artistes qui se
gargarisent, aussi bien en peinture qu'en photo, de NYC.
 
Ici, pas de complaisance et encore moins de "déco", Frédéric Defossez a connu la rue (à travers ses 4 années vécues dans le ghetto de Sangatte et dont est sorti un reportage exceptionnel réalisé en collaboration avec Jean Claude Francolon) et nous apporte une vision, sa vision, de la ville qui ne dort jamais. Il utilise pour cela un traitement de l'image très particulier (habituellement réservé aux architectes) lequel donne un relief et une profondeur exceptionnels aux images.  C'est beau, c'est fort, c'est terriblement décalé mais toujours pertinent...On est à NYC...mais pas que...Frédéric Defossez, qui partage sa vie entre Calais (chez lui), Lille, Paris et New York (où il a son atelier), arrive à nous étonner et à nous faire vibrer.

Frédéric Defossez travaille actuellement entre pour le studio "brainmixer-lab" basé à Brooklyn.

Repéré à Lille Art Fair par Isabelle Vanmerris, responsable de l'opération "Printemps loves New york", Frédéric Defossez peut ainsi aujourd'hui présenter son travail dans la rue la plus fréquentée de Lille et dans un envirronement exceptionnel...

La galerie reconnue aujourd'hui tant pour la pertinence de ses choix artistique que pour sa volonté affichée de promouvoir ses artistes, assure de son côté en collaboration avec le magasin, un jeu concours (sans obligation d'achat) où les lauréats pourront gagner des tirages et/ou un collector, numérotés et signés de l'artiste.

Par ailleurs, l'Artiste dédicacera au Printemps de Lille, des tirés à part de ses visuels, le samedi 2 octobre de 15 heures à 17 heures...

Rendez-vous donc du 26 Août au 10 octobre rue nationale pour une rentrée très "New York City"

Pour tous renseignements : 03 28 36 27 99

Le trompe-l'œil est un genre pictural destiné à jouer sur la confusion de la perception du spectateur qui, sachant qu'il est devant un tableau, une surface plane peinte, est malgré tout, trompé sur les moyens d'obtenir cette illusion.

Une des premières entreprises de la peinture étant de figurer d’abord sur des murs, puis des toiles, des images de notre environnement, cette figuration a mené à des lois de perspective et développé une technicité picturale qui reste une des grandes directions de l’art.

Jeu de séduction et de confusion du spectateur, le trompe-l’œil a porté très évidemment son choix plus volontiers vers des sujets inanimés ou statiques.

Le domaine du trompe-l’œil ne se limite pas qu’au tableau ; lorsqu’il en dépasse le cadre, il envahit le mur tout entier et devient une. L’architecture y est alors figurée selon les lois de la perspective pour le spectateur ; elle peut aussi, dans une illusion saisissante, être un vrai trompe-l’œil architectural.

Malgré tout ne confondons pas tromperie efficace et représentation picturale très réaliste : un objet qui sort du cadre et peint sur le bord du tableau est souvent un trompe-l’œil destiné à montrer que le reste du tableau n’en est pas un (Voir les écrits de Daniel Arasse : Le Détail, pour une histoire rapprochée de la peinture), une vue en perspective dans un cadre est une représentation, une perspective peinte dans le décor même pour en prolonger la réalité, un trompe-l’œil, comme les moulures et fenêtres décorant les façades italiennes de la Ligurie. (source Wikipédia)

Découvrez dans l'album ci-contre de stupéfiants trompe-l'oeil (contemporains) dont certains, spectaculaires, ne manqueront pas de vous étonner....

  Ci dessus : Pere Borrell del Caso, huile sur toile, Madrid (1874)

  Ci-contre : Source image-coolopticalillusions.com

Attention certaines de ces images sont protégées par des droits d'auteurs. Merci de ne pas reproduire sans autorisation ou citation des auteurs.

Mathilde Charlet :  Tout d’abord qui êtes-vous Jérôme Goeneutte ?
Jérôme Goeneutte : Un grand rêveur qui aime faire pétiller le quotidien en y apportant de la fantaisie.  Celle-ci peut s’exprimer par différents moyens, mais je me sers principalement des images pour transmettre mes visions oniriques et mes idées.
 
M.C. :  Comment avez-vous débuté la photographie et quel a été votre parcours ?
J.G. : J’ai toujours aimé les images. Comme la plupart des gens, j’ai commencé la photo pour le plaisir, notamment avec mon frère, passionné de photo également et qui m’a transmis sa passion. Ensuite, lorsque j’étais étudiant en graphisme à St Luc, j’ai suivi des cours de photographie qui ont vraiment développé mon goût pour cet art. S’ensuivirent des rencontres intéressantes, en particulier avec Olivier Despicht dont j’apprécie beaucoup le travail et l’acquisition de matériel adéquat, qui me permirent de me lancer dans cette démarche artistique depuis 2002.
 
 M.C. :  Où puisez-vous votre inspiration ?
J.G. :  A la fois dans mon imaginaire personnel et dans la nature, ainsi que dans l’actualité. En général se sont mes réflexions qui débouchent sur des images.  Par exemple pour les clichés dans lesquels je mets en scène des mannequins, j’aime le décalage que cela provoque dans les images.  Ce moyen me permet d’aborder des sujets délicats sans avoir l’impression d’exploiter la situation, et d’ajouter une dimension onirique et magique à la réalité.
 
 M.C. :  Quels courants artistiques et artistes appréciez-vous?
J.G. : J’aime beaucoup le courant impressionniste pour la fraicheur que cela a apporté à la peinture, mais également les contemporains, comme Picasso pour la force qui réside dans leurs images, sans oublier le nabisme, avec Maurice Denis.  Je suis également un grand fan de Tim Burton et de son univers, et amateur d’expression urbaine, à savoir les tags, car j’aime le principe d’investir l’espace publique.  Cette prise de liberté est très propice à l’échange. J’ai d’ailleurs participé une année à l’événement « Les fenêtres qui parlent », qui consiste à exposer des œuvres d’art aux fenêtres de plusieurs quartiers de la métropole lilloise (cf. article p7, ndlr). Ce fut une excellente expérience !

M.C. : Quels sont vos projets ?
J.G. : Je fais une exposition intitulée « Le réveil de Diane Fallope », du 20 Février au 18 Mars (2010), au café Le Monde Moderne. J’aime beaucoup ce lieu que je trouve particulièrement riche culturellement et qui offre un regard avisé sur la scène artistique. La préparation de l’exposition, notamment le tirage des photos avec Digipro (labo) a été très enrichissante car j’ai assisté à la matérialisation de mon travail. Le nom de l’exposition vient d’une de mes photographies qui représente un buste au milieu de jonquilles.  Cette photo illustre bien mon attachement pour la nature et l’influence qu’elle a sur l’Humain.  Elle symbolise le réveil de la nature sous toutes ses formes, qu’elle soit sensuelle, génératrice, créatrice…

Jérôme Goeneutte expose à la for Art (gallery) pendant tout l'été.

Renseignements : 03 28 36 27 99

Cette superbe sculpture lumineuse (100 cm de diamètre) a été réalisée sur commande par l'artiste Frédéric Lavaud, artiste permanent de la for Art (gallery). Entièrement réalisée avec des objets de récupération (d'où le délai de commande : 3 à 6 mois selon la taille), il est aussi beau de jour que de nuit.

Réalisable dans toutes les tailles (de 40 cm à 150 cm de diamètre) chaque pièce est néanmoins unique.

Renseignements : 03 28 36 27 99